Florian Ducati

Florian Vörös, anatomie d'un sociologue postmoderne

Une histoire narrée par
Vanessa Legrand-Apfelstrudel

ehrmahgerd berterkerck
Floria Everett

Sommaire :

Nos péripéties nous conduisent à présent dans les contrées les plus reculées du Royaume du Wokistan, où la lumière se raréfie de jour en jour. Les oracles nous avaient pourtant avertis : le chemin serait pavé d'embûches, et le bon sens ne saurait suffir à nous guider à travers les ténèbres. Mais le temps presse, car les ténèbres poursuivent inexorablement leur expansion, anihilant tout sur leur passage.

Bref, salut les culs, aujourd'hui on va parler de sociologie de comptoir, et qui plus est je déteste ma vie.

Présentation

Florian Vörös est maître de conférence à l'université de Lille en "Science de l'Information et de la Communication". Sa fiche est disponible ici. Dans ses axes de recherches, on retrouve tous les mots-clés affiliés à l'idéologie intersectionnelle : "genre et sexualité", "approche féministe et queer", "violences de genres". On sait d'ores et déjà à quoi s'attendre : un gros gâteau de bullshit bien puant comme on les aime sur ce blog, miam miam miam. D'ailleurs, la liste de ses publications révèle chez lui une curieuse obsession : la pornographie.

Florian Voros aime les Subway Sandwiches

Les porn studies

En 2020, ce "sociologue" a publié un ouvrage (dont on avait déjà parlé ici) intitulé sobrement Désirer comme un homme. Enquêtes sur les fantasmes et les masculinités. Cette vidéo datant de 2012 nous en révèle les tenants et les aboutissants.

Regardez-moi ce petit brun tout choupinet. Rien qu'à l'écouter bavasser, on parvient à deviner sa bio Grindr (soyons honnête, aucune chance que ce type soit hétéro) : "passif soumis, recherche stud actif ttbm pour plan hot". Mais trêve de plaisanterie. Afin d'analyser la vidéo en toute objectivité, j'ai décidé de m'en remettre à l'avis d'un tiers. Et qui de mieux qu'un sociologue pour analyser le discours d'un sociologue ? Stéphane Édouard, bonjour !

Stéphane Édouard
Stephane Edouard

Bonjour à vous chère représentante de F, et merci de me convier à cette vidéoscopie.

Tous le plaisir est pour moi. Alors, que pensez-vous de votre cher collègue ici présent ?

Stephane Edouard

Et bien, la première chose que l'on constate, c'est le T-shirt. Le col semble déchiré, laissant entrevoir l'entre-deux pecs — l'analogue de l'entre-deux seins pour les femmes. Je tâcle rarement sur le physique, mais on observe souvent ça chez les hommes complexés qui ont le sentiment de manquer de virilité : en mettant en exergue les caractères sexuels secondaires (les poils de torse, en l'occurence), ils tentent en réalité de pallier à leur faible volume musculaire. Plus on donne à montrer de chair, plus ça fait illusion. D'ailleurs je me souviens quand je travaillais comme vendeur de barbe-à-papa dans une fête foraine, on voyait toujours ces mecs hyper barraqués qui parvenaient à tordre des barres en acier à mains nues. Ils s'habillaient en tank-top hyper légers afin d'exposer le maximum de masse musculaire, bien qu'en réalité leur barres eussent été fabriqué en PVC. Mais on ne me la fait pas à moi : ayant bossé en tant que responsable marketing dans une usine de tuyauterie 4 ans plus tôt, j'ai detecté l'arnaque immédiatement. Tout ça pour dire, le col roulé, c'est pas pour les...

Merci, Stéphane, merci, je crois qu'on a compris l'idée. Mais parlons un peu de son élocution voulez-vous ?

Stephane Edouard

Oui, bien sûr. La première chose qui saute aux oreilles, ce sont ses tics de langage récurrents : "Euuuh...". "Euuuuuuh...". À écouter, je trouve ça particulièrement crispant. Ça me fait penser à une anecdote : lorsque je travaillais en tant que responsable qualité chez Yves Saint Laurent,...

Stéphane, vous ne comptez quand même pas nous étaler l'intégralité de votre curriculum vitae ?

Stephane Edouard

Et vous, vous ne comptez pas utiliser mon nom dans le seul but de vous dédouaner de vos propos ? Cette interview est totalement fictive, et vous la menez pour la seule et unique raison que vous n'avez rien à raconter sur ce type qui ne fait que ressasser la même lithanie en long en large et en travers.

Bien, je pense qu'on va conclure ici la vidéoscopie. Merci Stéphane pour votre contribution.

Florian nous explique ainsi comment on en est arrivé à "étudier le porno à l'université, avec des lunettes féministes et queers" (8:15). Depuis les années 2000, il existe aux USA des formations dédiées à l'étude de la pornographie où "on va mater et analyser des films pornos" (7:13), ce qui aurait suscité des scandales. No shit ? Je suis outré de constater avec quelle étroitesse d'esprit le quidam moyen appréhende ce nouveau champ de connaissance pourtant si prolifique. D'ailleurs, je serais curieux de savoir comment on peut analyser un film de cul. Que m'enseignais les profs de français au lycée déjà ? Ah oui : d'abord on donne l'idée générale, ensuite on cite l'extrait, puis on l'analyse. Essayons :

Analyse d'une scène pornographique

Vanessa Legrand-Apfelstrudel

Le but de se papier est de déterminer comment les mécanismes de dominations s'exercent dans cet extrait d'œuvre cinématographique intitulé Rugbymen vs majorettes : tries scored deep inside hot pussies.

La scène se compose de deux protagonistes : une personne dotée d'un vagin, et un homme. La personne dotée d'un vagin est allongée sur le divan, sur le dos et les jambes écartées, tandis que l'homme se tient debout, coiffé d'un casque de rugbyman. Après mûre observation, mon expertise permet de conclure avec une marge d'erreur de 5% que la circlusion s'effectue par l'orifice avant. Il convient de se méfier car, chez les personnes dotées d'un vagin, la proximité des orifices avant et arrière peut parfois prêter à confusion pour les non-initiés. La personne dotée d'un vagin se voit ainsi réduite à l'état d'objet inerte en proie à la domination masculine, qui de par sa stature s'érige au-dessus de la femme. Bien qu'on puisse retrouver ce type de configuration dans la pornographie gay, on ne pourrait dresser le même constat : l'acte de sodomie prendrait alors une tournure ergonomique (facilité d'insertion en position debout), esthétique (hommage à la statuaire grecque dans toute sa splendeur) et contestataire (remise en question de l'ordre hétéro-patriarcal). Excepté bien sûr si la lae passif.ve était racisé.e, auquel cas il s'agirait de fétichisation de corps non-blanc, et donc de racisme systémique.

Analysons à présent la communication verbale. La personne avec vagin emet différents phonèmes, parmi lesquels on distingue (parmi les plus fréquents) "oyez !", "an" et "phoque". "Oyez !" consiste vraisemblablement en un appel à l'écoute de la part du spectateur, dans une société où la femme est silenciée et invisibilisée, et où sa parole ne pèse pas autant dans le débat que celle d'un homme. "An" exprime le fait que le projet s'inscrive dans la durée. Il s'agit bien évidemment d'une hyperbole, la circlusion ne s'étalant pas sur une année entière, mais cela met bien en perspective le caractère persistant des souffrances causées par le patriarcat dont se trouvent victimes les femmes. "Phoque" semble nettement moins évident de prime abord, mais révèle en réalité toute l'ingéniosité de cette personne dotée d'un vagin qui manipule la métaphore avec brio : iel compare son sort à celui du phoque, animal exploité dans les zoos par des hommes blancs spécistes afin de divertir un public incapable de remettre en question ses privilèges.

Du côté de l'homme, le phonème qui revient avec le plus grand nombre d'occurences est incontestablement "beach", terme anglophone désignant la plage. Difficile de passer à côté de l'allusion au célèbre slogan de mai 68, "sous les pavés, la plage", ici dévoyé par un androcentrisme qui instrumentalise la libération sexuelle afin d'exploiter le corps de la femme, à défaut de l'émanciper.

Plus que trente pages comme cela, et je suis paré pour passer ma thèse.

Enfumage intellectuel

Nous allons à présent tenter de démystifier les âneries de cet hurluberlu. Si tant est qu'on parvienne à préveler une once de bon sens dans ce marécage d'absurdité.

Dans cette vidéo, à 3:48, Florian nous déclare qu'il est plus facile de parler avec les homos de l'effet didactique du porno sur leur sexualité, à cause de la sous-représentation de l'homosexualité, et donne l'exemple de la fellation. Laissez-moi deviner, on leur a interdit l'accès à ces fameux cours de fellation reservés exclusivement aux filles, ce qui les a contraint à s'instruire au travers des films X ? Et de fustiger, comme d'habitude, les hétéros qui eux tentent d'esquiver la question afin de se dédouaner de toute responsabilité : "je n'ai rien appris par le porno, le porno n'a pas d'effet sur moi", avant de rejeter la faute sur les racailles des cités.

Phoenix Wright Objection

Attendez une minute, comment est on passé en l'espace d'une seconde de l'apprentissage de la sexualité via la pornographie, à ses effets néfastes sur le comportement ? Vous voyez le rapport vous ? De plus, si vous prêtez correctement attention, Florian dit clairement "il y souvent là l'idée que...", ce qui montre bien qu'il prête des propos discriminatoires à ces hommes qui à la base n'en affirmaient probablement pas autant.

Voyez la manière avec laquelle ces charlatans adaptent le discours en fonction de la catégorie d'individus désignés. Par une subtile bascule rhétorique qui a lieu exactement à 4:28, ce sociologue dresse une fausse dichotomies entre d'une part les homos, chez qui la pornographie est associée à l'apprentissage, et d'autre part les hétéros où elle est assimilée à l'exclusion et l'intolérance. Ce double-standard avait déjà été relevé ici : tout est pensé pour victimiser les "opprimés", et diaboliser les "dominants".

annoyed bird

Un autre exemple ? À 6:48, Florian déplore que les médias ne parlent que de l'addiction à la pornographie, et que cela renforcerait les stéréotypes de genre. En quoi me demanderez-vous ? Et bien dans ces reportages, les femmes sont présentées comme de vulgaires "soignantes" ou "conjointes", et non comme des... des porn addicts ? Non vraiment, que viennent faire les "désirs" et les "pratiques sexuelles" des femme dans ce contexte ? On parle de trouble psychiatrique là, pas d'un épisode de Sex and the city ! Comme si médiatiser les problèmes de biroutes de certains mecs était supposée donner une image reluisante de la sexualité masculine, et que les femmes devaient s'en sentir lésées. Men struggle with addiction, women most affected.

Florian déplore sinon à 5:11 que les hommes refusent d'"avoir des réflexions" sur leurs fantasmes, et les conséquences que cela peut engendrer. Sans déconner Florian ! Quel discernement de ta part ! Comme si les hommes n'avaient que ça à foutre de se questionner sur les tenants et aboutissants de leur visionnage de contenu pour adulte d'un point de vue intersectionnel. Oserais-je te rappeler la raison principale (si ce n'est la seule en réalité) pour laquelle les gens visionnent du porno ? Il faut que je t'explique les choux et les cigognes, aussi ?

Floflo à l'assaut des médias

Lors de la sortie de son bouquin, Florian a réalisé la tournée de la quasi-intégralité de la presse féministo-gauchiasse, qui s'est comme à son habitude empressée de se jeter sur cette manne céleste, telle une horde de loups affamés en quête de gibier.

Quel ne fut pas alors mon enthousiasme lorsque je découvris que le podcast Mansplaining de Slate avais consacré un épisode à Florian Vörös. Décidément, les grands esprits se rencontrent. D'abord, je tiens à attirer votre attention sur l'image que Thomas Messias a choisi pour illustrer le thème de l'interview :

un fantasme de Thomas Messias
Stephane Edouard

Oui, cela vient d'ailleurs corroborer l'analyse que j'avais conduite dans cette vidéoscopie, où j'évoquais l'étrange fascination de cet homme pour la petite porte de derrière.

Thomas ouvre le bal (1:23) en vantant la "rigueur universitaire" de son interlocuteur.

rire J. Jonas Jameson

Comme vous vous en doutez, il s'agit bien là d'un n-ième prétexte de la part de Thomas pour dire du mal de ses congénères, fustigeant notamment "leur manque d'empathie et d'ouverture" (7:31), sous le seul motif qu'ils répugnent à connaître les fétiches sexuels de leurs potes.

Au cours de l'interview, on notera l'usage du verbe "performer" par Florian (4:24), traduction foireuse de l'anglais "to perform", ce qui montre à quel point la sociologie actuelle est imprégnée des idéologies anglo-saxonnes.

À 7:50, à propos de Florian, Thomas affirme que "la perception qu'on les hommes de lui ont des conséquences sur ce qu'ils veulent bien lui raconter. Ce qui confirme une nouvelle fois à quel point il est important d'affirmer qui on est et d'où on parle." Ce qui justifierais alors pourquoi Thomas ouvre systématiquement son podcast sur le fameux mantra néoféministe "je suis un homme blanc cisgenre hétérosexuel". Une société où chacun se doit de réaliser son coming-out pour avoir droit à la parole, ça ne peut que faire rêver.

Au passage, histoire de réaffirmer qui est Thomas Messias et d'où il parle, saviez-vous qu'avant de bosser chez Slate, ce type a été viré du journal Causette lorsque les rédactrices ont découvert une série de tweets ouvertement misogynes émanant de celui-ci ?

les tweets incriminants de Thomas Messias

À l'instar des écolos, la presse féministe recycle ses déchets.

Mais revenons à nos moutons : Florian fustige les "propos masculinistes" des homme interviewés. Pour ceux qui l'ignoreraient encore, le masculinisme est un terme dépréciatif conçu par les féministoïdes visant à discréditer les hommes refusant de prêter allégeance à leur cause, car vous ne trouverez jamais personne se revendiquer du masculinisme. Un passage hilarant du podcast décrit comment Florian a fondu en larmes, éprouvé par une interview au cours de laquelle un horrible masculiniste misogyne assimilait le sexe sans capote a du bon vin. Vite, mes sels !

La mauvause Nouvelle, Marguerite Gérard

On ne dirait pas comme ça, mais le métier de sociologue peut vite s'avérer éreintant. D'ailleurs, on apprend au cours de cette interview que Florian a démarré son enquête en 2010 (8:25), ce qui signifie que son ouvrage a mis dix ans à s'écrire, pour 150 pages et une trentaine de témoignages. Les subventions de l'État partent vraiment à la poubelle.

Florian a eu également le privilège de passer sur Kombini. Au cours de ces abominables 3 minutes 30, on y apprend sans surprise que la pornographie hétéro véhicule des stéréotypes sexistes et racistes (parce que selon Florian, les blanches seraient plus frigides que les noires...), mais pas la pornographie gay : si les gays sont attirés par les hommes virils, ça reste encore et toujours la faute de ce sanaté patriarcat qui impose des stéréotypes de genre à ces pauvres brebis inverties. Ben voyons. Et là où les hétéros attendent "une grande disponibilité féminine" (disponible "par tous les trous", bonjour la vulgarité), ce n'est en revanche pas le cas des homosexuels, bien que notoirement adeptes du partouzage et autres pratiques sexuelles débridées. Floflo, très franchement, à qui espères-tu faire gober ces inepties ?

Je me répète peut-être, mais la pratique consistant à occulter une partie de la réalité dès lors qu'elle ne se conforme pas à la ligne idéologique devient monnaie courante dans ce type de discours. Contrairement à un discours scientifique qui partirait de faits concrets pour aboutir à un principe général, le discours intersectionnel part d'un principe général établi de façon arbitraire, et cherche ensuite à le valider par tous les moyens, quitte à manipuler les faits.

Il semble que Florian ait aussi eu droit à une petite turlute de la part de Mediapart, mais Ô manque de bol, l'article est reservé aux abonné.e.s.

Webinaire de la crétinerie

Grâce à la Covid-19, les séminaires sont maintenant retransmis en ligne, ce qui nous permet d'observer ces specimens évoluer dans leur milieu naturel. Voyons si ces conférences parviennent à se hisser à la hauteur de leur réputation.

Ce webinaire, intitulé "Penser l'après partiarcat", d'une durée de 1h30... 1h30 !!! En vitesse double et après trente minutes de visionnage, j'ai dû déclarer forfait. Pardon. Ce webinaire, c'est simplement du rien, fabriqué à partir de rien, et qui s'adresse à,,, rien. Ni personne. Mais ça, j'estimais inutile de le préciser. Les mêmes slogans, répétés en boucle, sur de prétendues dominations liées à la consommation de pornographie, dont jamais aucun exemple n'est évoqué mais sur lesquelles on ne doit surtout pas transiger. Des débats aussi stériles que soporifiques sur les différences sémantiques entre "virilité" et "masculinité" (10:05), qui semblent d'ailleurs être objet de dissensus (cf. 12:29) : hilarant de voir Stacy s'empêtrer dans son gloubiboulga lexical, et de conclure à 13:05 "c'était assez compliqué". Non ma chérie ce n'est pas compliqué, il s'agit juste du même mot que vous affublez d'interprétations foireuses à base de constructions sociales, de relations amoureuses et de chimpanzés à lunettes. Parce que votre "sociologie", c'est du flan et tout le monde le sait.

Que dire sinon ? À 16:00, Florian affirme que la "masturbation pornographique [...] est un lieu d'affirmation de la virilité", alors que dans la vidéo précédente, il déclarait que les hommes en proie à l'addiction pornographique "cherchent à renouer avec une vraie virilité" (6:58). Il faudrait savoir : le porno, ça rend plus viril ou moins viril ? Où peut-être que ça rend viril au début, mais si on en regarde trop alors on commence à perdre en virilité ? Genre comme une courbe gaussienne ? Que quelqu'un m'explique !

évolution virilité en fonction consommation porn

Jusqu'à maintenant, je n'avais encore jamais assisté à ce genre de séminaires, mais je réalise à présent à quel point le tableau dressé par Nathalie Heinich n'a rien d'une caricature. Je dois à présent me résigner : les ténèbres ont eu raison de moi. Je m'avoue vaincu. Paix à mon âme.

Misc.

Saviez-vous que Florian Vörös figure parmi les 800 pigeons universitaires qui ont appelé à voter Mélenchon au premier tour ? Si si, vous pouvez vérifier, son nom figure bel et bien.

Conclusion

Bref, vous l'aurez compris, l'intersectionnalité, c'est un peu comme le MacDo : ça provient des US, ça s'exporte partout, et surtout c'est de la merde.

Au cours de ce chapitre, je me suis focalisé sur un seul individu. Mais ne vous y trompez pas, des pseudo-intellectuels de cette trempe, l'université en fabrique à la chaîne. La fac de sciences sociales est en passe de devenir une véritable usine à crétins. En résultera une armée de clones lobotomisés destinée à faire plier le monde sous le joug de la bienpensance.

J'arrive donc au terme de ce fabuleux récit. Je dois vous laisser à présent, j'ai besoin d'une aspirine. Bonne fin de vie à toustes.


Commentaires


20 September 2022 à 0:17

Vanessa a écrit :

Ahah, je vois des gens débarquer sur cette page depuis le serveur Zimbra de l'université de Lille !